Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Pausenature

Pausenature
Publicité
9 avril 2007

Freedom for all

Voici mon prremier très cours! Je l'ai appelé "Freedom for all" ----- "Liberté pour tous".

Il a été filmé à Auckland en Nouvelle-Zélande avec l'aide de trois personnes, ma petite amie et deux de mes collocataires. Filmé sur MiniDV et édité avec SonyVegas 6.0. L'idée m'est venue alors que je cherchais à m'entrainer dans la réalisation d'un projet cinématographique. En effet, je voudrais changer mes écrits en films et avoir la chance de voir évoluer les personnages que j'ai créé sur grand écran. Bon mais alors par où commencer? Je ne connais rien à la réalisation et le travail de caméra, son et autres ont tout les secrets pour moi. Alors il me faut une idée, avec un acteur simple à diriger (c'est discutable dans ce cas, je l'avoue), une histoire courte et des conditions de tournage asser faciles afin de pouvoir me familiariser avec les prises de vue et me permettre un montage facile. Puis il m'a fallu découvrir les problèmes de création et montage audio. Mais voilà qui est terminé et prêt à être présenté. Je vous laisse regarder et laisser moi un commentaire.

Publicité
Publicité
15 décembre 2006

Hui in PAIN

  Voici une peintre intéressante. Sa philosophie de l'art doit être mentionée car ses idées sont pour moi inaplicables à ma propre idée de l'art et de la manière dont je le pratique. Son nom est Hsiao-Hui Huang, originaire de Taiwan, elle vit désormais à Christchurch en Nouvelle Zélande.

   Elle dit que l'art est une intéraction avec le public en lui laissant le soin de faire une représentation de sa propre interprétation. Un bon exemple de cette idée serait son exposition appelée "mini-me". Des têtes peintes sur un cadre en métal. Les traits principaux comme les cheveux et le menton sont peints, mais tout le reste est fait d'aimants. Aussi, les yeux, la bouche, le nez at d'autres artifices sont laissés à la libre imagination de ceux qui viendront visiter l'exposition. En créant cette intéractivité artistique, la peintre donne une chance aux visiteurs d'étendre leur créativité. Et je pense que dans un monde moderne où la plus grande différence entre les hommes est l'oportunité et la capacité de prendre des décisions, il est toujours bon d'aider et parfois de pousser les gens vers les limites de leur créativité, les limites de leur capacité à faire des choix. Ca peut paraître ridicule qu'une peinture puisse être un tel challenge mais si quelqu'un veut faire l'expérience, il faut essayer! Prennez quelques personnes dont vous connaissez les différences de caractère: émotionel, leader, passif, etc... Et voyez la différence sur leur capacité à être créatif et à faire des choix. Cela pourrait être surprenant, croyez moi!

Voici un exemple de l'une de ses pièce:

HuiInPainHuiInPain2HuiInPain3

Si vous voulez en voir ou en savoir plus, vous pouvez trouver le lien vers son site dans la colonne de gauche à "Hui in PAIN" qui est le nom de son site web. Le site est en anglais mais il est possible de trouver pas mal de commentaires en français notament dans la section "frenchy". En effet elle a passé 10 mois en France et je vous laisse le soin de voir ses commentaires sur cette expérience. Vous pouvez voir plusieurs de ses oeuvres ainsi que des photos de ses expositions dans la section "arse me" et pour ceux qui comprennent bien l'anglais, le site est bourré de textes (sur lesquesls je ne ferai aucun commentaire personnel quand au language utilisé, héhéhé!!!).

6 décembre 2006

A qui la faute?

J'ai écrit ce texte suite à une demande sur internet, un concours pour paraître dans un recueil de nouvelles, le thème: la guerre et ses atrocités. Si le texte était sélectionné, le livre serait vendu en faveur des enfants malades. La nouvelle fut sélectionnée mais le recueil n'a pas vu le jour par manque de participants. Alors la voici! Cela n’a rien à voir avec toi ou moi, cela n’a rien à voir avec le monde qui nous entoure, nous sommes juste mal nés, au mauvais endroit, au mauvais moment. Mais qui suis-je pour dire cela, qui dans ce monde peut dire être bien né? Ces gens-là existent peut-être mais je ne les connais pas. Ce matin, j’ai croisé le regard de cet enfant, il devait avoir environ 10 ans, le regard dur comme la pierre, une arme à la main, c’était lui ou moi. Je suis encore vivant… Nous avons rasé son village, nous avons rasé tellement de villages. Je ne sais plus ce que sont les sentiments, je vois les gens souffrir, ils crient, ils pleurent, ils saignent mais je ne m’arrête plus. Oh, bien sûr, avant, je m’arrêtais, je les regardais l’air abattu, tentant de reprendre le contrôle de moi-même, ne pas lâcher mon arme, ne pas les aider, ils sont nos ennemis. Nos ennemis… J’aurais donné beaucoup de choses, avant d’être lancé sur le champ de bataille, pour rencontrer et découvrir tous ces gens, mais aujourd’hui, ils sont nos ennemis. Alors maintenant, je leur marche dessus, et s’ils crient, je m’arrête et leur donne un coup de godasse en plein visage, puis je repars. Je brûle, je tue, je fais souffrir, mais que suis-je devenu? Je n’étais pas comme ça avant, j’étais contre la violence, j’aimais mes enfants, je les regardais jouer tout le temps, c’était comme une passion, les écouter rire, chanter, les regarder dormir. J’aimais les fêtes entre potes à refaire le monde autour d’un bon repas et d’une bonne bouteille de vin. J’aimais aller voir ma famille, j’aimais ma femme, le temps que l’on passait ensemble, son regard. Mais des regards, j’en ai croisé tellement depuis, des regards de jeunes militaires qui partent en guerre, l’air fier, l’air innocent. J’ai vu leurs yeux changer, devenir durs, pleins de haine, en passant par l’horreur bien sur, paniqués, pleins de larmes. J’ai vu ces garçons se perdre dans les cris, les plaintes, je les ai vu avoir peur, tellement peur, des jeunes hommes devenus des meurtriers, contre leur gré. J’ai croisé son regard, celui qui un jour m’a affirmé que nous gagnerions cette guerre, que nous menions le juste combat, alors nous ne pouvions que sortir vainqueurs en levant nos casques et nos bouteilles bien haut. Je l’ai regardé pleurer, je l’ai regardé perdre tout goût pour la vie, je l’ai vu trembler, son arme à la main, assis dans la boue, ses yeux dans les miens, il n’y avait plus rien, son esprit était vide et je l’ai assisté de mon regard lorsqu’il a porté son arme sur sa tempe. Je ne l’ai pas abandonné, même dans sa plus insurmontable détresse. J’ai croisé leurs regards, ces enfoirés contre qui je me lève chaque jour, j’ai vu leurs yeux me supplier lorsque mon arme était pointée sur eux mais sans hésiter je mettais une balle dans leur maudite tête - je les hais, je les hais! Sans eux, je ne serais pas ici, pas maintenant! Il y en a un à qui j’ai épargné la vie, je l’ai vu, il n’avait pas plus de dix-neuf ans, il ne savait pas où il était, il avait perdu sa raison, son âme. Mais il n’avait pas perdu son arme, à peine étais-je retourné que j’entendis une déflagration qui me fit baisser la tête, un autre gamin, dix-neuf ans aussi, lui avait tiré dans le ventre, l’autre allait me flinguer, des gosses mais plus des humains. J’ai croisé tous ces regards et j’en ai oublié celui de ma femme, celui de mes enfants. Il n’y a plus rien de bon en moi. Je me bats tout les jours au milieu des balles qui filent près de mes oreilles, je me faufile entre les explosions d’obus qui tombent au milieu de nos rangs, je rampe dans la boue et sur les corps de tous ces militaires qui croyaient revenir en triomphe, avec un peu de chance, ils seront enterrés là, leurs médailles envoyées a leurs familles. Quant à mes nuits, je les passe aussi à faire la guerre, je me bats contre moi même, contre ma conscience qui m’insulte toutes les nuits de plus en plus fort, je revois chaque nuit ce qu’il s’est passé chaque jour, l’horreur me hante. Je revois le tatouage sur le bras de mon ami d’enfance, représentant un aigle qui plonge sur sa proie et je me souviens de ce jour ou j’ai vu ce bras sortir de dessous les corps des autres déjà morts. J’ai couru vers lui pour le dégager, j’ai pris son bras pour l’amener vers l’oxygène, je voulais qu’il respire, je voulais le voir vivant. Mais seul le bras est venu. J’ai hurlé, comme je n’avais jamais hurlé avant, je crois que c’est ce jour là que je me suis vraiment rendu compte de ce dans quoi je me trouvais et par la même occasion, j’ai renoncé à l’amitié. Il s’est passé quelques jours, peut-être quelques semaines avant que je ne parle a qui que ce soit. Alors c’est ça la guerre, on renonce petit à petit aux sentiments, d’abord, on renonce à la pitié, puis à l’amitié, puis à l’honneur et enfin, on renonce à la vie. Alors quand l’âme est vide de tout ce qui en faisait sa force, on cherche le moyen d’en finir ou bien on attend que quelqu’un en finisse pour nous. C’est ce que je vis tous les jours comme tous ceux autour de moi. J’aurais voulu lui dire au revoir, à celle qui était autrefois ma femme, leur dire au revoir, a ceux qui étaient autrefois mes enfants, aujourd’hui, plus rien n’est comme avant, et il est impossible que je redevienne celui que j’étais. Quant à cette guerre, elle ne finira jamais, j’aimerais tellement trouver le repos. Ils sont là, ils nous attendent, ils sont en ligne, prêts a tirer, quand nous chargerons, les balles fileront près de nos oreilles, certains d’entre nous mourrons et d’autres continuerons de courir, de tirer jusqu’à la prochaine charge puis la suivante. Mais mon jour est venu, tout ça n’a aucun sens, plus aucun sens. Oh, bien sûr, cela n’a rien à voir avec toi ou moi, cela n’a rien a voir avec le monde qui nous entoure, nous sommes juste mal nés, et encore, va savoir, on naît comme on le mérite et l’on meurt de la façon dont il faut que nous mourrions. Est-ce écrit? Peut-être… Un sourire, oui, c’est étrange mais c’est ce qui se lit sur mon visage maintenant que je pose mon arme à terre, maintenant que je suis un homme libre. Je me lève comme mes compatriotes et pour la première fois depuis tellement longtemps, peut-être une éternité, je cours vers un monde meilleur. Le soldat Bateillon fut tué lors de la dernière charge, à la suite de cette bataille, un traité de paix fut signé. Lui, comme beaucoup d’autres, ont péri ce jour funeste, mais leurs esprits restèrent sur le sol qu’ils foulèrent. On a souvent supposé que quelqu’un qui se lance à la charge de l’ennemi ressent du patriotisme dans son coeur, cette fierté de se battre pour son pays, cette envie de victoire. Moi je crois que ce qu’ils ressentent, c’est un dégoût pour la vie, une envie d’en finir et une envie de croire qu’après la vie, de toute façon, ça ne peut pas être pire…
5 décembre 2006

La fin d'un monde

J'aime beaucoup associer la musique et l'écriture. Je prends d'ailleurs la plupart de mes inspirations dans la musique. Alors voici le dernier texte que j'ai écris. L'image m'est venue sans musique mais elle s'est très bien articulée autour de celle-ci: "Goodbye" de Kevin Shields, que l'on peut trouver dans la BOF de "lost in translation".

Alors voici le texte, que j'ai appelé: La fin d'un monde.

Elle est allongée la, sur ce lit blanc étincelant au milieu de nulle part, au milieu du monde. Vêtue d’une longue robe noire, qui s’étale sur le lit, les yeux dans le vide et pourtant fixé sur ce qui a disparu. A sa droite, sa main est encore en position de tenir une autre, au niveau de son visage, elle ne croit plus en rien, elle a accepté la fin. Autour d’elle, l’herbe à une couleur d’argent, le soleil brille comme un cristal. Il se couche mais n’est pas rouge, cette fois-ci, ce n’est pas l’espoir d’un lendemain, l’émerveillement de ce phénomène fabuleux qu’il éclaire, mais une nostalgie d’un monde perdu, à la fin de toute chose.

Aurait on pu éviter cela ? Quelle importance, désormais il est temps de tourner la page.

Il y a une présence autour d’elle, un  homme habillé d’un costume blanc, son équilibre. Il erre autour d’elle, entre les arbres dont les feuilles ocre scintillent dans l’air du soir. Elle ne peut le voir mais elle sent sa présence, il est parti il y a bien longtemps déjà, à l’aube de cette journée éphémère, dans ce monde utopique d’une réalité oubliée. Tout a disparu alors que le soleil commençait à descendre et il est revenu mais il était bien différent, ses yeux s’étaient attristés et il était venu annoncer que le soleil allait disparaître sur ce peuple devenu fou. Et de cet instant, la lumière changea et le peuple disparut, petit à petit, sans fracas, quelques regrets au cœur, se souvenant de cette journée qui aurait pus être si lumineuse.

            Mais il y a dans l’air comme une odeur de seconde chance, une sensation de renouveau, ailleurs, loin, très loin. Mais pas ce soir car le soleil se couche et ce monde trouvera le calme qu’il n’a plus connu depuis l’aube.

            Il s’assoit enfin, la regarde tendrement et met sa main dans la sienne, un équilibre réuni. Puis il s’allonge, la tête au niveau de ses pieds et tout deux prennent une forme arrondie, main dans la main, sous cette lumière cristalline.

De loin l’on peut voir le lit au milieu de cette verdure argentée, quelques arbres ocre scintillants, la courbure de ce monde et ce soleil qui disparaît. La fin d’une journée, la fin d’un monde et le souvenir qui s’efface pour laisser place au calme et à la tranquilité.

3 décembre 2006

Pourquoi voyager?

Publié dans la newsletter du club Teli au mois d'Octobre 2006

Il existe tellement de raisons de voyager. Bien sur, je ne parle pas la de vacances en centre de loisir, en tour opérateur, dans une maison de location au bord de la mer ou bien encore d’une visite au cousin partit s’installer au Québec ; mais d’un voyage initiatique, d’un voyage qui nous emporte au bout du monde, au bout de nous même, qui pousse nos limites, un peu plus à chaque kilomètre.

Chacun d’entre nous à sa propre raison, il en existe autant qu’il existe de voyageurs. Mais chaque voyageur qui croise le regard d’un autre, comprend.

Il comprend que la vie à ses hauts et ses bas, ses jours de pluies et de soleil, ses jours de pains et de festins, ses jours de peines et ses jours de joie. Il comprend que peu importe la raison pour laquelle cette âme à décidé de voyager, il est la à cet instant, à cet endroit et qu’il est temps de se serrer la main et apprendre à se connaître, et partager un peu de soi, comme il partagera un peu de lui. Car c’est une des raisons de ce voyage, aller à la rencontre des autres, s’ouvrir, découvrir. On apprend vite qu’il faut se battre pour tellement de choses dans la vie, le voyageur lui décide de faire une trêve, lorsqu’il prépare son sac et qu’il le met sur son dos en pensant : « le voilà, mon drapeau blanc ». Ce voyageur, même s’il reste discret, a toujours un œil fraternel lorsqu’il croise tous ces drapeaux blancs. Il sourit de l’intérieur et se sent dans un monde qui s’ouvre. Non pas d’en haut, non pas des lois et des esprits technocratisés, non pas des administrations de l’embrouillage de l’esprit mais de tout en bas, où se vote l’abolition des préjugés, où tombent les frontières, les races, les rangs sociaux et où s’utilise cet outil magique, le premier créé par les hommes, bien avant l’écriture, bien avant l’économie, même bien avant la maîtrise du feu : la communication.

            Un retour aux racines, oui peut-être, un retour à une vie d’errance, sans lendemain où le passé reste du passé. Laisser errer son esprit, c’est se donner une chance de rêver sans s’obliger à donner à nos pensées une tournure réaliste. En effet, le droit de rêver, c’est le droit de s’adonner à l’irréel, c’est le droit d’être irréel, dans un monde qui ne l’est que trop. On a le DROIT de rêver des choses irréalisables tant que nous restons conscients que ce n’est qu’un rêve. Pourquoi rêver des choses réalisables ? Pour se donner l’envie ? Ou plutôt parce que nous pensons que c’est irréalisable ? Lorsque l’on dit : « A cœur vaillant, rien d’impossible », le voyageur en connaît la véracité.

            Tout se réalise si l’on s’en donne les moyens. Se donner les moyens ? Pour le voyage, cela signifie tout d’abord abandonner le confort. Un effort ? Non, une chance. Si aucun confort ne retient le voyageur, il est alors plus enclin à se déplacer, à visiter, à partager ce manque de confort. Ca parait difficile à croire mais quelqu’un qui partage son manque de confort avec vous, c’est plus touchant que quelqu’un qui vous spolie de trop de confort. Le manque de confort délie les langues, amène la bonne humeur et parfois même l’humour.

            Rire est important pour un voyageur. Les chinois disent : « Rire trois fois par jour rend toute médecine inutile ». Et il faut savoir se soigner lorsqu’on voyage car le corps est mis à rude épreuve. Le cœur aussi. Lorsque le rire est une langue internationale qui transmet l’amour, l’amitié, l’envie de se rapprocher des inconnus pour une heure, une semaine ou une soirée, alors ce rire devient le compagnon de route du voyageur. Il est facile de rire avec des inconnus, donner un peu de ses pensées, un peu de soi, car on sait que cela ne durera pas. Les barrières tombent et l’on devient soi.

            Difficile d’être soi dans un monde formaté par les stéréotypes. Alors on se renferme et se range tranquillement dans les rangs. Mais le voyageur ne connaît pas ce sentiment car son but n’est pas de plaire mais bien de vivre. Alors voyager, c’est un peu fuir, un peu se rebeller pour pouvoir être. On se découvre à travers les autres et les situations que l’on vit, on se découvre des failles et des qualités que l’on ne se connaissait pas si l’on s’était rangé, comme tout le monde. C’est aussi fuir une vie de tous les jours, une vie de médium de quartier qui saurait prédire l’avenir car tous les jours se ressemblent. Voyager, c’est risquer de ne pas savoir, c’est s’offrir de ne pas savoir…

            On ne voyage pas pour trouver une vie stable, on voyage parce qu’on ne l’a pas trouvée, on ne voyage pas pour émerveiller, on voyage pour s’émerveiller, on ne voyage pas pour sortir du lot, on voyage pour ne pas y rentrer. On ne voyage pas, on avance…

            Pourquoi voyager ?

Parce que c’est l’avenir de l’humanité. Partir découvrir ceux que l’on ne connaît pas, s’offrir pour apprendre, s’ouvrir pour être. Ce n’est pas la facilité que certains peuvent imaginer mais c’est notre choix et même si le cœur saigne parfois, c’est pour rappeler au voyageur à quel point sa vie est belle.

Un voyageur : Aurélien Lainé

Publicité
Publicité
3 décembre 2006

Un nouveau blog pour une nouvelle peau

   Bienvenue sur ce nouveau blog qui sera mon portail personnel. En effet, il servira d'accès à mes textes d'un point de vue professionel, à mes photos d'un point de vue artistique et à mes projets. En effet, si mon ancien blog se voulait être un récit de voyage accompagné de photos pour pouvoir tenir au courant ma famille et mes amis de mon parcours, celui-ci sera donc l'accès direct aux diverses présentations et avancées de mes projets professionels et une expression de l'art dans tous ses états. Je vous invite donc à revenir de temps à autre pour vous évader ou pour découvrir mes expressions incorporelles.

Amicalement

Aurélien

Publicité
Publicité
Publicité